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La présidence de qui, au juste, fut volée ? Notes avant la deuxième guerre civile # 3

mark Season 24 Episode 3

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COVID GUERRE MONDIALE
Notes avant la seconde guerre civile, 3

La présidence de qui, au juste, fut volée ?
 

Lors de l'élection présidentielle en 2016, les deux partis devaient emporter trois États ou perdre : la Pennsylvanie, le Michigan et le Wisconsin. Les Republicans et les Democrats ont altéré des circonscriptions électorales de façon autant disproportionnée que permit la Cour suprême. Mais je m'éloigne du sujet (voir plus loin). Des manipulations de scrutins au niveau d'États américains n’arrivent qu’à y promouvoir des fonctionnaires véreux, de la législation insensée ou nulle, et des volontaires de bureau de vote terrorisés. Quant à l’élection présidentielle, elle était truquée le mieux par le collège électoral. Du moins jusque là.

Avant 2016, les trois États étaient recensés comme appartenant à Hilary Clinton. Trump les remporta tous trois. Déjà en avance par 3,5 points de sondage en Ohio, Trump y gagna par 8,1 points. Clinton fut attribuée 3 points de marge en Iowa, mais Trump y atteint l'incroyable avance de 13 points.

Nommé directeur du FBI par Obama, James Comey annonça l’enquête de la bévue de courriels par Clinton dix jours avant l’élection. Son annonce déplaça plusieurs points de pourcentage d'électeurs indécis dans le camp de Trump, le rapprochant à sa victoire en contradiction des sondages. Une fois que l’annonce atteint son but, le FBI laissa tomber l’accusation faute de preuve. Comey aurait du fermer sa grande gueule en attendant des preuves suffisantes : le protocole ordinaire au FBI.

Lors d'un autre incident en mars 2016, le service de renseignement russe a hameçonné des courriels de hauts fonctionnaires de la campagne électorale de Clinton. Les messages de plus d'une centaine de ses co-équipiers furent saisis. Le FBI ne signala pas ce crime à l'époque; il a brouillé ses preuves depuis.

Ces e-mails ont du inclure les détails de circonscriptions électorales du pourpre foncé d’États pourpres. Ni du rouge Republican ni du bleu Democratic, elles pouvaient tomber dans l’un ou l’autre camp. Pourvue qu’un parti put remporter toutes ces circonscriptions spéciales, certaines par à peine quelques centaines de voix, il pourrait obtenir tous les voix du collège électoral de cet État sans nécessiter sa majorité. 

Ces districts ont donc attiré l’attention particulière des deux côtés : davantage de campagnes populaires de Democrats, encore plus de rassemblements MAGA Republican et « d’ingérence extérieure » ​​non spécifiée d’alliés furtifs. Trump emporta tous les districts spéciaux d’États clés, obligés sans exception pour son succès. Sans tricher, il retenait une chance sur deux à chaque reprise. Il les emporta toutes.

Alors que le recensement n'a rien trouvé de louche dans les votes du Wisconsin en 2016 ceux de Pennsylvanie et du Michigan furent annulés par décret judiciaire. La plupart des cinquante États n'ont jamais obtenu de recompte malgré la divergence des prévisions. 

« C'était la faute des sondeurs. Chacun s’est trompé au sujet de quatre ans de recherches de pointe.  Trump était ‘beaucoup plus populaire’ que n'admettait ses électeurs. Ils étaient ‘trop gênés pour admettre aux sondeurs’ qu'ils favorisaient une telle vipère. » Du reportage de conneries subjectives pour couvrir des statistiques incroyables.

Les Trumpoïdes ont déposé de nombreux appels et recomptes après leur défaite en 2020, soit qu’ils aient perdu cet État ou non. Son Narcissisme royale aurait dû gagner beaucoup plus de voix partout ; l'élection lui avait certainement été volée ! Les médias rémunérés et les bureaucrates du Beltway ont répété mille fois ses mensonges, quoique manquant de preuve après d'innombrables audiences. La défaite de Trump à l’encontre de Biden était à peu près aussi honnête que la plupart des élections américaines. Les Republicans et les Democrats avaient jusqu’alors de bonnes raisons pour maintenir des élections pour la plupart honnêtes. Plus maintenant.

On doit exclure la reddition de Gore en 2000 à Bush le Moindre, basé sur le décompte de quelques centaines des retours extrêmement douteux, donc 0,00… 01% du suffrage en Floride. Gore remporta la majorité nationale contre Bush, et perdit ; Clinton l’obtint contre Trump, et perdit ; Biden la même chose contre Trump, et gagna. La victoire de Gore fut bloquée tel que le score d’un match de gamins par une foule hurlante en Floride, puis par la Cour suprême pour autant intransigeante.

La victoire renversante de Trump en 2016 n'a pas déclenché le même examen que les Republicans ont exigé de Biden en 2020. Au contraire, on n’a pas pris la peine d’évaluer la sécurité des machines à voter dont certaines ne produisirent aucune trace documentaire. Dans certains États, chaque fournisseur de machines électorales et leurs développeurs de logiciel étaient Republican, tout comme les fonctionnaires censés les surveiller et les payer. Plus tard, des amateurs de piraterie informatique ont découvert qu'ils pouvaient pénétrer ces anciennes machines à voter et manipuler leurs données facilement, en particulier avec l'aide d'experts externes. 

La presse a rejeté tout soupçon de fraude électorale, selon des analyses louches de régression statistique. Sans quoi, silence assourdissant à ce sujet, malgré le reportage quotidien et amoureux de tous les éructations politiques de Trump auparavant et depuis. On l’a simplement permis de gagner, tout en se lavant les mains de sa puanteur. 

Les riches ont reçu leur projet de loi d’assistance sociale aux millionnaires ; la démocratie fut trahie aussi aisément qu’on le veuille.

Avant la première guerre civile, ce pays se boulonna dans un système d’esclavage réglementaire supposé s’étendre partout et durer à jamais. Le juge en chef Taney et sa cour suprême le soutinrent  jusqu'à ce qu’il mourut à mi-guerre et Lincoln abrogea son influence nocive, soutenu par les masse mais beaucoup moins par les riches.

Quel chaos pro-fa se manifestera-t-il aux prochaines élections de 2024 ? Trump nous fut simplement gavé et personne n’a bronché. La prochaine fois, attendons-nous à être privé d’un Président acceptable pendant des années à suivre et aux contre-coups que cela implique.

 Depuis une décennie, la Cour suprême de Roberts aurait pu dissiper ce cauchemar en approche, à coups féeriques de baguette constitutionnelle. Rien à faire. Leur silence promet d’écrouer le pays en fascisme anti-démocratique et anti-américaine.  

L'Amérique devra-t-elle l’apprendre à la dure ? Sinon reprendra-t-elle pied ferme Dieu donné afin de reprendre l'ascente démocratique a se crever l’âme ? Des piscines olympiques de sang et des puits sans fond de frayeur nous seront-ils déversés sur la tête, afin de rendre cette escalade encore plus dure ?

COMMENTAIRE?  markmulligan@comcast.net